Humeur : mi-optimiste, mi-désespérée État général : entre miette ruinée et château en Espagne Certitudes : quelque part entre zéro et cent trois … Oui, voilà ce qui arrive quand on prend la décision – un peu la mort dans l’âme, parce que ça rappelle des déboires que l’on croyait enterrées – de reposer la […]
Désolée, Raquel, mais je pouvais difficilement passer à côté de cette collab’ exclusive avec le kitsch, Richard Strauss et les Daft Punk… So long, space cowgirl !
Au bureau on a terminé 2022 et démarré 2023 en swinguant. Bizarrement (non), j’étais moins fringante aujourd’hui que les deux jours précédents, peut-être parce que j’ai mis beaucoup de soin à enterrer l’an vieux avec force bulles et pas de danse. Mais en revoyant cet extrait de On The Town, une joyeuse bernsteinerie que nous […]
Aujourd’hui, on défile, on gerbe des monuments, et on pourrait dire que je m’en fiche sans vraiment se tromper. Et en même temps… Je me rappelle où j’étais il y a 27 ans * Il y a 27 ans, à Londres, on fêtait les 50 ans de la paix sur notre continent, de la victoire […]
En ces temps troublants troublés de planète qui part en sucette, de chef d’orchestre qu’on pousse aux oubliettes, de pandémie qui continue autour du monde ses galipettes, et surtout d’abominable guerre bien sale avec ses atroces bombes qui pètent, il est parfois bon de se rappeler qu’un brin de surréalisme peut rafraîchir les idées. Je […]
On dirait que ça comptait pour du beurre et que janvier – qui a si bien rimé avec apnée – n’existerait pas. On dirait que l’autre nouvel an qui se fête aujourd’hui me va beaucoup mieux au teint (matez-moi ces belles tigrures et cette fière allure !). On dirait que c’est mieux de démarrer la […]
On ne dirait pas comme ça, mais j’ai finalement quelques points communs avec le Fred Astaire qu’on voit dans la vidéo ci-dessous. Tourné en 1950 (subtile allusion numérique), Let’s Dance (admirablement traduit en français par Maman est à la page) nous montre ici un Fred Astaire d’en gros 50 ans – comme moi aujourd’hui (si […]
Chat échaudé craint l’eau froide, disent l’adage et ta grand-tante. Ai-je, telle Jonathan et Jennifer, les justiciers milliardaires, l’amour du risque ? Eh bien, on dira que ça dépend (ça dépasse). En gros je n’ai ni un attrait immodéré pour l’inconfort du danger, ni une passion pour l’ennui d’une vie sans piquant et sans inconnu. […]